La bonne organisation des funérailles musulmanes

Un enterrement islamique est un événement spirituel qui respecte un ensemble strict de coutumes et de coutumes funéraires. Si vous avez besoin d’un service funéraire musulman pour un être cher, consultez notre guide des funérailles musulmanes.

Les procédures à suivre

Le principal défi auquel sont confrontés les bûchers funéraires français est de trouver un équilibre entre les requêtes de l’Islam et les lois des rites funéraires français. La cérémonie musulmane de l’enterrement envisage la mort de façon transitoire. Conformément à la croyance populaire, l’âme repose dans la crypte durant 40 jours. Les agences de pompes funèbres musulmanes se chargent des tâches administratives ainsi que de la disparition du défunt suivant les règles du rite musulman :

  • La gestion des tâches administratives avant et après l’enterrement ;
  • Observation des rites religieux (toilette rituelle et salat janaza) ;
  • Transport du corps avant et après l’encerclement ;
  • Un large choix de cercueils est disponible ;
  • En France, l’inhumation ;
  • Déplacement dans un autre pays (tous les pays sans exception).

Le rite islamique

Le rite islamique a pour but de transporter le défunt dans l’au-delà dans la dignité. Chacun y participe à sa manière, ce qui est considéré comme noble. Outre le chagrin, la mort d’un être cher lui servira d’aiguillon pour grandir spirituellement.

Cela ne suffit plus de raconter les dernières paroles de Yassin et sa promesse de foi pour le sauver. Après cela, il faut notifier la mort d’une manière digne. Comme le dit la prophétie, les « larmes de la misère » sont un mouvement naturel qui doit être autorisé. L’islam, en revanche, interdit des manifestations aussi extrêmes : il est interdit de pleurer, de se battre ou de se peigner les cheveux, ou de s’asseoir par terre. Les agences de pompes funèbres musulmanes vous montreront ce que vous devez à faire donc vous n’avez pas à vous inquiéter.

Quelles sont les étapes à suivre ?

Le nettoyage du corps du défunt se fait avec une extrême prudence. Celui qui découvre les réunions nocturnes est appelé drap. Si le défunt est un homme, au moins deux hommes font sa toilette ; si la défunte est une femme, au moins deux femmes font sa toilette ; et si le défunt est un enfant de moins de sept ans, un homme ou une femme fait sa toilette.

La deuxième étape avant les funérailles officielles consiste à envelopper le corps du défunt dans un tissu blanc appelé « linceul », composé de trois pièces de tissu pour les hommes et de cinq pour les femmes. Les produits naturels sont privilégiés pour l’embaumement dans la tradition islamique, et le linceul doit être fait de lin ou de coton.

Il est important de savoir que lors des obsèques, le cortège est conduit par les proches du défunt jusqu’à l’étape finale, l’inhumation, selon le protocole. Si vous éprouvez des difficultés à suivre ces étapes, vous pouvez envisager d’appeler un prestataire de pompes funèbres musulmanes.

Démarches administratives

Après un décès, les catholiques et les juifs suivent la même procédure : demander un certificat de décès à un médecin et un acte de décès à la mairie locale. Ces procédures sont indispensables et les pompes funèbres musulmanes en assurent leur suivi.

Dans le cas d’un rapatriement vers une autre nation, le corps est transféré du lieu du décès à l’aéroport avec l’accord du maire local. Au nom de la famille, les établissements funéraires musulmans peuvent effectuer ces démarches officielles.

Étiquette funéraire islamique

Les personnes présentes aux funérailles islamiques sont autorisées à exprimer leur mécontentement, mais uniquement dans le cadre d’un décorum strict. Par exemple, les gémissements bruyants ne sont pas autorisés. Les autres signes extérieurs d’émotion intense, tels que changer de vêtements, se disputer, parler de manière sacrilège ou s’automutiler, sont absents. Il est permis d’utiliser des pleurs ; mais, en cas de doute, vous pourrez vous adresser aux pompes funèbres musulmanes en charge de la cérémonie.

Les personnes en deuil ne sont pas autorisées à photographier ou à filmer une quelconque partie du service funéraire, selon l’étiquette traditionnelle musulmane. De même, pendant les trois premiers jours du jeûne de 40 jours, la communauté a l’obligation de nourrir la famille. Un nombre important de communautés musulmanes modernes observent une période de deuil.

Les prières

Dans une cérémonie religieuse, l’imam est un participant indispensable. Il prie d’une voix forte pour le défunt, et elle comprend les louanges d’Allah. Cette courte prière est un peu différente de toute autre. En vérité, elle ne raconte pas son récit avec agitation ou génuflexion. Tout au long de son récit, les gens sont tenus à distance.

Cette prière contient également quatre tekbir, qui sont de merveilleuses représentations des paroles d’Allah. La Fatiha (la première sourate du Coran) est prononcée après le premier tekbir. La congrégation prie ensuite pour la prophétie avant de passer à la prière de repos de l’âme. En cas de découverte du visage du défunt, les amis et les membres de la famille peuvent se rassembler devant lui pour dire la Shahada.

Après l’enterrement

Après les funérailles, les membres de la famille se réunissent et accueillent les personnes en deuil dans leur maison. De nombreuses personnes envoient des offrandes de nourriture pour aider au fardeau pendant les trois premiers jours suivants les funérailles. La phase de deuil dure en moyenne 40 jours, mais elle varie d’une famille à l’autre. La phase de deuil d’une veuve dure généralement quatre mois et dix jours. Pendant cette période, elles sont tenues de revêtir du noir, de se maintenir dans la maison de leur mari et de s’abstenir d’interagir avec des hommes qui pourraient être intéressés par leur mariage.

Conclusion

 

Selon la tradition islamique, le défunt doit être inhumé le plus rapidement possible après sa mort. Dans certains endroits, l’inhumation a lieu le jour même du décès, surtout si le décès a lieu tôt le matin. Dans la plupart des cas, l’inhumation a lieu le deuxième ou le troisième jour qui suit le décès. Des exceptions sont faites lorsque les circonstances l’exigent, comme la nécessité d’une autopsie ou des questions juridiques entourant le décès. Les funérailles sont primordiales, c’est pourquoi il est nécessaire de faire confiance aux services spécialisés.